Le besoin, mais

Mais j’ai continué à écrire. Pas tous les jours, puis, quand j’en ai ressenti le besoin, mais à un moment je pouvais écrire dix à vingt pages. Observations des autres, pensées sur les motifs de certaines actions, plans et rêves, joie et peines ..

Au fil du temps, ma censure intérieure s’est affaiblie, et j’ai découvert un plaisir incomparable pour moi, de parler et d’écrire non pas ce qu’ils attendent de moi, mais ce que je pense et ce que je ressens vraiment.